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POEME "le bien et le mal"
14/02/2008 08:12
POEME "le bien et le mal"
Perpétuelle battaille sans fin qui sans cése continue si l'un n'était pas là l'autre ne pourrait exister perpétuelle bataille qui oppose le bien et le mal on ne peut pas faire le bien sans faire le mal et on ne peut pas faire le mal sans faire le bien neutre est être different ? la neutralité maintient l'équilibre entre le bien et le mal où dure une éternelle battaille
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UN ANGE…
14/02/2008 08:10
UN ANGE…
Je suis un ange. Le tien. Il faut bien que quelqu’un veille sur ta tristesse Il faut bien que quelqu’un garde tous tes chagrins Il faut que quelqu’un t’aime. Tu as le diable au corps ? J’ai le cœur endiablé d’amour ! Je reste assise là. Du fond de tes ténèbres Je te protège
Je suis un ange. Le tien. J’habite le paradis, celui de ton enfer Quand ivre de fatigue tu poses dans mes mains Ton front lourd de misère et d’incompréhensions Je te berce et j’endors tout ce qui te fait mal Et j’ouvre tes cachots et j’ouvre tes prisons Pour un moment…
Je suis un ange. Tombé de haut venu de loin Pour marcher avec toi j’ai dû rogner mes ailes Ca ne fait rien N’oublie JAMAIS. Tu as un ange. Un démon d’ange ! Tout prêt à te surprendre tout prêt à te donner Juste un peu de douceur et de sérénité
-Angel-Isa-
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Adieu
14/02/2008 08:08
Adieu
Que la nuit est belle, ma douce Allongés sur cet humide tapis de mousse Les petits bruits de la forêt nous bercent Que ce message est émouvant, par hermès Nous sommes transportés dans la nuit Dans le ciel, de mille feux, la lune luit Les arbres nous racontent leurs histoires Ressens avec toi le tendre air du soir Rien ne pourrait briser cet instant magique Le vent glissant sur les feuilles est si lyrique Regretterais-tu le temps où nous étions Juste des amis et qu’il n’y avait de passion Quelle ironie du sort nous sépare Tu vois ces moments étaient trop rares C’est pour ça que je t’ai demandé Si, pour la vie, tu voulais m’accompagner Mais ce temps me semble désormais révolu Je ne puis encore abuser de ta vertu Prends ton envol, tu me manqueras, sois en sûr Cela me rend froid et terne, bavard comme un mur Tu n’e plus là, je regarde ta couche libre Des mes rêves, elles dansent les horribles hydres La mort semble apaisante qu’aujourd’hui Mon cœur e noie dans ma tristesse et la pluie Adieu, petit corbeau de mes rêves Mon regard semble de mettre mal à l’aise Il est chargé de ton corps, de ton, esprit, de toi Je ne suis que l’ombre de ton roi Adieu, ma reine
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Espoir
14/02/2008 08:07
Espoir
Au fond de cette crevasse gorgée Des sentiments aux odeurs légères Je me suis découvert un cœur charmé Par une lueur comme celle de la mer
Mais avant que mes yeux ne puissent Déchirer le voile de ton âme Et que notre amour ne tisse Une cape transpercée de mille lames
Je tiens à sentir la chaleur de ta main Lorsque, à son creux, s’y loge la mienne Pour que ce moment n’est plus de fin Et que, pour l’éternité, tu sois reine
De quelque chose aux formes floues Avec une démarche sans cohérence Surnommé par les autres le grand Fou Malgré qu’ils savent à quoi il pense
Non, rien ne sert de promettre des roses Alors qu’on ne demande pas à la lune Ce qui nous remette en cause Perché tous les deux sur la dune
A ce stade d’esprit aux cris Qui résonnent dans ma tête Je les implore, les supplie Avant qu’ils ne nous arrêtent
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Jusqu'à la fin
14/02/2008 08:05
Jusqu'à la fin
Les rêves morts du soleil blanc Changent les couleurs pourpres de l’horizon Prends ma main décorée de sang Avant que de mon regard il n’y ait scission Par deux fois nous avons souillé cette route Suis les flocons planant de mes yeux Pour oublier qu’un espoir vous coûte Autant d’ardeur que brûlaient ces cheveux
Les tours, fières et hautes, de notre innocence Croulent sous les appels maudis de son cœur Auriez-vous oublié les rires de notre enfance Que nous avions emmurés par la peur Des trous noirs ouverts sur le souvenir naissant Ont brisés l’harmonie de mon silence Et encore ils se dressent avec le vent Putréfiant la pâleur de la lune qui danse
Vagues immenses apparues en songe Renversent les fondements éternels Sans affecter la peste qui nous ronge Brille pour moi, étoile, étincelle, Un feu sacré s’empare de l’air Consumant la substance de notre salut Au moins les cris pourront se taire Quand la lumière emplira notre vue
Nuage s’amplifiant au gré de sa puissance Apparais dans le lointain de notre folie La mort peut fouler la terre avec aisance Car c’est toujours mon ombre qui la suis
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